jeudi 7 mai 2009

JOE ET LA MACHINE.



La machine est en route. Joe est promis à un joli succès. Des mélodies entêtantes, une voix identifiable et de sacrées prises de risques.
Melting pot de ce qui se fait de mieux en chanson française, l’auditeur prend un plaisir certain à découvrir un univers déjà tellement bien dessiné. L’électro chasse la guitare sèche et des plages planantes s’aménagent quelques délicieux instants.
Un seul homme orchestre est au centre de tous ces savoureux sons : Jonathan Rabany. Un rien désinvolte, il aligne cinq pépites authentiques. Petit prince à venir de la scène française, on lui souhaite de nous dessiner d’autres jolis moutons. Une bien belle révélation.

Noesis.

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